Bien qu’encore très peu connu, le Sultanat d’Oman commence peu à peu à faire parler de lui. Et ce n’est pas étonnant vu sa beauté, son authenticité et l’accueil de ses habitants !
Alors que les infrastructures touristiques sont particulièrement chères, rien de tel pour visiter le pays que d’expérimenter le camping sauvage, totalement sûr et autorisé sur ces terres anciennement nomades. Tout en veillant bien sûr au respect des lieux, c’est d’ailleurs le meilleur moyen d’entrer en contact avec cette population incroyablement hospitalière.
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Palmeraie de Misfat
Oasis en montagnes
Village de Balad Sayt
Face au passé
Nécropole d'Al Ayn
L'art arabe
Les mosquées
du Sultanat
Hospitalité Bédouine!
Culture nomade
Juste du sable?
Caravanes du désert
Souk de Nizwa
La tradition du commerce
Lieux de rassemblements et de transactions commerciales
depuis des centaines d'années, les souks réunissent
des artisans et des commerçants de tous genres
venus vendre nourriture et artisanat local.
Dans l'omniprésente odeur d'encens,
on y négocie des textiles et des bijoux
pendant que d'autres profitent du moment pour discuter
autour d'un café et des traditionnelles dattes.
Le Souk de Nizwa est l'un des plus anciens du pays
et est particulièrement réputé pour son marché au bétail animé.
On vient y acheter des chèvres, des moutons, des vaches
et bien sûr des dromadaires!
Lieux de rassemblements
et de transactions commerciales
depuis des centaines d'années,
les souks réunissent des artisans
et des commerçants de tous genres
venus vendre nourriture et artisanat local.
Dans l'omniprésente odeur d'encens,
on y négocie des textiles et des bijoux
pendant que d'autres profitent
du moment pour discuter autour d'un café
et des traditionnelles dattes.
Le Souk de Nizwa
est l'un des plus anciens du pays
et est particulièrement réputé
pour son marché au bétail animé.
On vient y acheter des chèvres,
des moutons, des vaches
et bien sûr des dromadaires!
Souk de Nizwa
Caravanes du désert
À voir ces troupeaux de dromadaires circuler librement dans le désert,
on en vient presque à se demander s’ils sont domestiques ou sauvages.
Cet animal, particulièrement bien adapté
aux conditions climatiques extrêmes de son environnement
(il est par exemple capable de tenir 15 jours ou de parcourir 160km sans boire),
jouit d’un intérêt particulier pour la population arabe
qui voit en lui le symbole de son ancien mode de vie nomade.
Ils sont également élevés pour des courses très populaires
et participent parfois même à des concours de beauté !
À voir ces troupeaux de dromadaires circuler librement dans le désert,
on en vient presque à se demander s’ils sont domestiques ou sauvages.
Cet animal, particulièrement bien adapté
aux conditions climatiques extrêmes de son environnement
(il est par exemple capable de tenir 15 jours ou de parcourir 160km sans boire),
jouit d’un intérêt particulier pour la population arabe
qui voit en lui le symbole de son ancien mode de vie nomade.
Ils sont également élevés pour des courses très populaires
et participent parfois même à des concours de beauté !
Dromadaires - Sharqiya Sands
Juste du sable ?
Cet immense désert de sable de plus de 12 000 km² impressionne.
Vierge au premier coup d’œil, il suffit d’y faire quelques pas
pour remarquer de nombreuses traces de vie.
Et pour cause, pas moins de 200 espèces d’oiseaux,
de mammifères, de reptiles et d’amphibiens
et 150 variétés de plantes indigènes y sont répertoriées.
Cet écosystème, capable de résister aux chaleurs intenses et au manque d’eau,
reste néanmoins fragile et nécessite pour sa survie notre respect.
S’en tenir aux pistes déjà tracées et ne pas jeter de déchets
sont des principes basiques, mais tellement essentiels
et pourtant trop souvent négligés...
Cet immense désert de sable de plus de 12 000 km² impressionne.
Vierge au premier coup d’œil, il suffit d’y faire quelques pas
pour remarquer de nombreuses traces de vie.
Et pour cause, pas moins de 200 espèces d’oiseaux,
de mammifères, de reptiles et d’amphibiens
et 150 variétés de plantes indigènes y sont répertoriées.
Cet écosystème, capable de résister aux chaleurs intenses et au manque d’eau,
reste néanmoins fragile et nécessite pour sa survie notre respect.
S’en tenir aux pistes déjà tracées et ne pas jeter de déchets
sont des principes basiques, mais tellement essentiels
et pourtant trop souvent négligés...
Dunes des Sharqiya Sands
Culture nomade
Quelques kilomètres dans les « Sharqiya Sands » permettent d’entrevoir
le mode de vie Bédouin, aujourd’hui pratiquement disparu.
Vivant autrefois de l’élevage de chèvres, de moutons et de dromadaires,
ils devaient se déplacer régulièrement afin de permettre
à la végétation clairsemée du désert de se régénérer.
Dorénavant, peu d’entre eux sont encore nomades
et si leurs habitations dans le désert et leurs activités subsistent,
la possibilité de se fournir en eau et en fourrage à la ville
rend leurs déplacements souvent facultatifs.
Cependant, leurs traditions et leurs valeurs restent encore bien ancrées,
principalement leur légendaire hospitalité !
Quelques kilomètres dans les « Sharqiya Sands » permettent d’entrevoir
le mode de vie Bédouin, aujourd’hui pratiquement disparu.
Vivant autrefois de l’élevage de chèvres, de moutons et de dromadaires,
ils devaient se déplacer régulièrement afin de permettre
à la végétation clairsemée du désert de se régénérer.
Dorénavant, peu d’entre eux sont encore nomades
et si leurs habitations dans le désert et leurs activités subsistent,
la possibilité de se fournir en eau et en fourrage à la ville
rend leurs déplacements souvent facultatifs.
Cependant, leurs traditions et leurs valeurs restent encore bien ancrées,
principalement leur légendaire hospitalité !
Un Bédouin et son dromadaire – Sharqiya Sands
Hospitalité Bédouine !
Quelle agréable surprise que de découvrir la réputée
et très largement méritée hospitalité Bédouine.
Il suffit de quelques paroles échangées
ou même de s’installer à proximité d’un village pour la nuit
pour se voir inviter autour d’un café et de dattes.
Impressionnante également cette ouverture d’esprit et cet intérêt
envers différentes cultures et religions.
Les discussions sont passionnantes et il arrive même
que l’on se fasse surprendre à rester la nuit
et à partager repas et visites avec une famille accueillante
et attachée à l’idée que les peuples doivent se respecter et coexister en paix.
Quelle agréable surprise que de découvrir la réputée
et très largement méritée hospitalité Bédouine.
Il suffit de quelques paroles échangées
ou même de s’installer à proximité d’un village pour la nuit
pour se voir inviter autour d’un café et de dattes.
Impressionnante également cette ouverture d’esprit et cet intérêt
envers différentes cultures et religions.
Les discussions sont passionnantes et il arrive même
que l’on se fasse surprendre à rester la nuit
et à partager repas et visites avec une famille accueillante
et attachée à l’idée que les peuples doivent se respecter et coexister en paix.
Incontournables dattes
Les mosquées du Sultanat
Éléments de repère dans le paysage Omanais, les mosquées sont omniprésentes.
Leur très grand nombre assure l’accès à tous les fidèles
lorsque résonne dans le silence de la nuit
puis rythmant la journée jusqu’au soir, l’appel du Muezzin
pour les 5 prières quotidiennes.
Afin de permettre un échange culturel avec les étrangers,
les principales mosquées d’Oman s’ouvrent également
au public en dehors de ces moments de prière.
En plus de pouvoir admirer leurs architectures exceptionnelles,
c’est alors l’occasion parfaite de découvrir
les croyances et les traditions de l’islam.
Éléments de repère dans le paysage Omanais, les mosquées sont omniprésentes.
Leur très grand nombre assure l’accès à tous les fidèles
lorsque résonne dans le silence de la nuit
puis rythmant la journée jusqu’au soir, l’appel du Muezzin
pour les 5 prières quotidiennes.
Afin de permettre un échange culturel avec les étrangers,
les principales mosquées d’Oman s’ouvrent également
au public en dehors de ces moments de prière.
En plus de pouvoir admirer leurs architectures exceptionnelles,
c’est alors l’occasion parfaite de découvrir
les croyances et les traditions de l’islam.
Mosquée du Sultan Qaboos - Sohar
L'art arabe
Difficile de rester insensible devant la beauté et la sérénité
qui se dégage de certaines mosquées…
Difficile de rester insensible devant la beauté et la sérénité
qui se dégage de certaines mosquées…
Mosquée du Sultan Qaboos - Sohar
Vestiges d'une nécropole
Ce site est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO
pour ses tombeaux collectifs datant de 2000 à 3000 ans avant J.C.
Sur toutes les collines environnantes, on retrouve ces « tombes en ruche » parfois seules,
parfois regroupées à plusieurs et qui constituent toutes ensemble
un des vestiges les plus complets de nécropole à l’âge du Bronze.
Ce site est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO
pour ses tombeaux collectifs datant de 2000 à 3000 ans avant J.C.
Sur toutes les collines environnantes, on retrouve ces « tombes en ruche » parfois seules,
parfois regroupées à plusieurs et qui constituent toutes ensemble
un des vestiges les plus complets de nécropole à l’âge du Bronze.
Nécropole d'Al Ayn
Face au passé
Dans les années 80, alors que les réseaux routiers
et les écoles se construisent à grande vitesse sous le règne du Sultan Qabus,
(3 écoles en 1970 contre 1053 à peine 40 ans plus tard !)
les villageois quittent peu à peu leurs anciennes habitations trop isolées
pour leur préférer de nouveaux emplacements.
On repère encore dans ces villages en ruines des jarres,
des bouts de tissus ou des murs colorés
qui nous laissent imaginer la vie qui s’y déroulait
il y a quelques décennies seulement.
Dans les années 80, alors que les réseaux routiers
et les écoles se construisent à grande vitesse sous le règne du Sultan Qabus,
(3 écoles en 1970 contre 1053 à peine 40 ans plus tard !)
les villageois quittent peu à peu leurs anciennes habitations trop isolées
pour leur préférer de nouveaux emplacements.
On repère encore dans ces villages en ruines des jarres,
des bouts de tissus ou des murs colorés
qui nous laissent imaginer la vie qui s’y déroulait
il y a quelques décennies seulement.
Village abandonné - Wadi Bani Habib
Authenticité Omanaise
Malgré un développement fulgurant du pays sur les 40 dernières années,
Oman garde également une grande part d’authenticité
comme l’atteste ce magnifique village de montagne.
Avec ses cultures, sa petite mosquée
et sa tour en ruine, il a de quoi séduire !
Les chèvres voyagent librement entre les maisons en pierre
et on y circule bien plus aisément à pied ou à dos d’âne qu’en voiture...
Malgré un développement fulgurant du pays sur les 40 dernières années,
Oman garde également une grande part d’authenticité
comme l’atteste ce magnifique village de montagne.
Avec ses cultures, sa petite mosquée
et sa tour en ruine, il a de quoi séduire !
Les chèvres voyagent librement entre les maisons en pierre
et on y circule bien plus aisément à pied ou à dos d’âne qu’en voiture...
Village de Balad Sayt
Oasis en montagnes
Au milieu des paysages arides et couleurs de roche,
les « wadis » prennent toute leur importance.
Alors que le pays ne possède pas de rivière,
on retrouve ces cours d’eau, aussi soudains qu’éphémères.
C’est toute une vie qui s’y développe alors,
villages et dattiers en guise de décor.
Écrins de verdures, de fraîcheur et de calme,
on ne s’en lasse pas !
Au milieu des paysages arides et couleurs de roche,
les « wadis » prennent toute leur importance.
Alors que le pays ne possède pas de rivière,
on retrouve ces cours d’eau, aussi soudains qu’éphémères.
C’est toute une vie qui s’y développe alors,
villages et dattiers en guise de décor.
Écrins de verdures, de fraîcheur et de calme,
on ne s’en lasse pas !
Wadi Bani Khalid
À l'ombre des dattiers
A chaque wadi, ses aflaj acheminant et répartissant l’eau
entre les différents niveaux de plantations.
Ces cultures en terrasse permettent entre autres
la récolte d'un des produits de base des pays arabes
et du plus ancien fruit cultivé au monde, la datte !
L’arbre ne se résumant pas uniquement à son fruit,
il est alors source d’ombre et de vie pour tout le village...
A chaque wadi, ses aflaj acheminant et répartissant l’eau
entre les différents niveaux de plantations.
Ces cultures en terrasse permettent entre autres
la récolte d'un des produits de base des pays arabes
et du plus ancien fruit cultivé au monde, la datte !
L’arbre ne se résumant pas uniquement à son fruit,
il est alors source d’ombre et de vie pour tout le village...
Palmeraie de Misfat Al Abryeen
Lieux de rassemblements et de transactions commerciales depuis des centaines d’années, les souks réunissent des artisans et des commerçants de tous genres venus vendre nourriture et artisanat local.
Dans l’omniprésente odeur d’encens, on y négocie des textiles et des bijoux pendant que d’autres profitent du moment pour discuter autour d’un café et des traditionnelles dattes.
Le Souk de Nizwa est l’un des plus anciens du pays et est particulièrement réputé pour son marché au bétail animé. On vient y acheter des chèvres, des moutons, des vaches et bien sûr des dromadaires!
À voir ces troupeaux de dromadaires circuler librement dans le désert, on en vient presque à se demander s’ils sont domestiques ou sauvages.
Cet animal, particulièrement bien adapté aux conditions climatiques extrêmes de son environnement (il est par exemple capable de tenir 15 jours ou de parcourir 160km sans boire), jouit d’un intérêt particulier pour la population arabe qui voit en lui le symbole de son ancien mode de vie nomade. Ils sont également élevés pour des courses très populaires et participent parfois même à des concours de beauté !
Cet immense désert de sable de plus de 12 000 km² impressionne. Vierge au premier coup d’œil, il suffit d’y faire quelques pas pour remarquer de nombreuses traces de vie. Et pour cause, pas moins de 200 espèces d’oiseaux, de mammifères, de reptiles et d’amphibiens et 150 variétés de plantes indigènes y sont répertoriées.
Cet écosystème, capable de résister aux chaleurs intenses et au manque d’eau, reste néanmoins fragile et nécessite pour sa survie notre respect.
S’en tenir aux pistes déjà tracées et ne pas jeter de déchets sont des principes basiques, mais tellement essentiels et pourtant trop souvent négligés…
Quelques kilomètres dans les « Sharqiya Sands » permettent d’entrevoir le mode de vie Bédouin, aujourd’hui pratiquement disparu. Vivant autrefois de l’élevage de chèvres, de moutons et de dromadaires, ils devaient se déplacer régulièrement afin de permettre à la végétation clairsemée du désert de se régénérer.
Dorénavant, peu d’entre eux sont encore nomades et si leurs habitations dans le désert et leurs activités subsistent, la possibilité de se fournir en eau et en fourrage à la ville rend leurs déplacements souvent facultatifs.
Cependant, leurs traditions et leurs valeurs restent encore bien ancrées, principalement leur légendaire hospitalité !
Quelle agréable surprise que de découvrir la réputée et très largement méritée hospitalité Bédouine. Il suffit de quelques paroles échangées ou même de s’installer à proximité d’un village pour la nuit pour se voir inviter autour d’un café et de dattes.
Impressionnante également cette ouverture d’esprit et cet intérêt envers différentes cultures et religions. Les discussions sont passionnantes et il arrive même que l’on se fasse surprendre à rester la nuit et à partager repas et visites avec une famille accueillante et attachée à l’idée que les peuples doivent se respecter et coexister en paix.
Éléments de repère dans le paysage Omanais, les mosquées sont omniprésentes.
Leur très grand nombre assure l’accès à tous les fidèles lorsque résonne, dans le silence de la nuit puis rythmant la journée jusqu’au soir, l’appel du Muezzin pour les 5 prières quotidiennes.
Afin de permettre un échange culturel avec les étrangers, les principales mosquées d’Oman s’ouvrent également au public en dehors de ces moments de prière.
En plus de pouvoir admirer leurs architectures exceptionnelles, c’est alors l’occasion parfaite de découvrir les croyances et les traditions de l’islam.
Difficile de rester insensible devant la beauté et la sérénité qui se dégage de certaines mosquées…
Ce site est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO pour ses tombeaux collectifs datant de 2000 à 3000 ans avant J.C.
Sur toutes les collines environnantes, on retrouve ces « tombes en ruche » parfois seules, parfois regroupées à plusieurs et qui constituent toutes ensembles un des vestiges les plus complets de nécropole à l’âge du Bronze.
Dans les années 80, alors que les réseaux routiers et les écoles se construisent à grande vitesse sous le règne du Sultan Qabus, (3 écoles en 1970 contre 1053 à peine 40 ans plus tard !) les villageois quittent peu à peu leurs anciennes habitations trop isolées pour leur préférer de nouveaux emplacements.
On repère encore dans ces villages en ruines des jarres, des bouts de tissus ou des murs colorés qui nous laissent imaginer la vie qui s’y déroulait il y a quelques décennies seulement.
Malgré un développement fulgurant du pays sur les 40 dernières années, Oman garde également une grande part d’authenticité comme l’atteste ce magnifique village de montagne.
Avec ses cultures, sa petite mosquée et sa tour en ruine, il a de quoi séduire ! Les chèvres voyagent librement entre les maisons en pierre et on y circule bien plus aisément à pied ou à dos d’âne qu’en voiture…
Au milieu des paysages arides et couleurs de roche, les « wadis » prennent toute leur importance. Alors que le pays ne possède pas de rivière, on retrouve ces cours d’eau, aussi soudains qu’éphémères.
C’est toute une vie qui s’y développe alors, villages et dattiers en guise de décor.
Écrins de verdures, de fraîcheur et de calme, on ne s’en lasse pas !
A chaque wadi, ses aflaj acheminant et répartissant l’eau entre les différents niveaux de plantations.
Ces cultures en terrasse permettent entre autres la récolte d’un des produits de base des pays arabes et du plus ancien fruit cultivé au monde, la datte !
L’arbre ne se résumant pas uniquement à son fruit, il est alors source d’ombre et de vie pour tout le village…